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J'ai lu dernièrement que lorsqu'on est une personne forte personne ne s'inquiète pour nous. Depuis quelque temps je ne suis pas dans mon assiette, je suis toujours fatiguée.  Le stress et la fatigue qu'on m'a dit parce-que oui j'ai des maux de tête causé par le stress. Ça fais 9 mois qu'on me dit: ça dois être le stress, essaie de te reposer. Assez souvent pour que j'y crois et que je ne cherche pas plus loin.

 Mon père est décédé il y a un peu plus d'un ans. Depuis je dit qu'il est parti avec ma patience, mais quelques mois après la fatigue est apparue, j'avais encore un bon morale donc je me disais que c'était le stress du deuil. Je travaillais aussi en entretien ménager qui me demandais beaucoup d'énergie. J'ai décidé d'arêtes de travailler quand je finissais toute mes journées en pleurant. Je croyais faire un Burn-out j'en ai parler avec mon mari et quelques personne dans ma famille mais on me disais toujours: C'est le stress ca va passer, après tout avec 3 enfants et un travail qui en demandais beaucoup c'était sûrement ca. J'ai attendu 3 mois que ça passe et plus ça allais moins je me sentais bien. La fatigue, les insomnie, la tristesse, l'impatience plus ça allais moins j'avais envie de me lever le matin. J'en venais même à me dire que ça serais mieux que je me réveille pas le lendemain matin. J'ai finalement été consultée en me disant que le doc allais me dire que c'était le stress et la fatigue que c'était normal. Mais il m'a dit que j'étais en dépression sévère. Personne ne se doute que je suis en dépression, après tout j'étais juste fatiguée, sauf peut-être ma soeur. Elle est la seule à m'écouter vraiment quand j'en ai parler, elle a su voir au delà du masque je je gardais en public pour ne pas déranger les autres avec mes petit problèmes. Pour l'instant il y a juste mon mari qui le sait mais si je me fie à sa réaction  lorsque je lui ai dit je me suis sentie jugée comme si j'exagèrais. Je sais que je suis du genre à tout banaliser mais je croyais quand même qu'il m'avais vu dépérir je sais qu'il travaille beaucoup pour compenser depuis que je ne travaille plus mais quand même, je lui ai dit plusieurs que je ne me sentais pas bien que j'avais un sentiment de lassitude constant. Il m'a vu pleurer à plusieurs reprise parce que je n'étais pas capable de gérer ca  il m'a demander plusieurs fois ce que j'avais mais il est rester de glace quand je lui ai dit. Ne faites pas attention à ce que les autre vous disent. J'ai attendue d'avoir pratiquement perdue goût à la vie avant de comprendre que c'est pas un état émotionnel normal. J'ai enfin l'aide dont j'avais besoins, on remonte la pente tranquillement un jour à la fois. Vous avez des doutes demander l'aide d'un professionnel avant que les symptômes ne sa grave.

Bonjour.sincere condoléances pour ton papa. À te lire Très forte personnalité chapeau !! Vous allez vous en sortir c'est sur.!! Un témoignage important. Moi aussi à la mort de ma soeur je suis passé par là je soupçonné une dépression. Je ne suis pas allée consulté. J'ai rencontré mon mari 6mois après chose qui m'a beaucoup aidé. Et la y'a des jours où le moral n'y ait pas où je dit a mon homme que je couve peux être une dépression. Il a là même réaction que ton homme ils ont peur et c'est tout à fait normal. À nous de nous prendre en main de nous en sortir car on a des enfants qui ont besoin de nous. Il faut qu'on soit forte pour eux. Je te souhaite du courage.

Il va falloir que tu te menage si tu ne veux pas être surmener. Moi g atteind ce stade deja. Courage

Mawys a écrit:J'ai lu dernièrement que lorsqu'on est une personne forte personne ne s'inquiète pour nous. Depuis quelque temps je ne suis pas dans mon assiette, je suis toujours fatiguée.  Le stress et la fatigue qu'on m'a dit parce-que oui j'ai des maux de tête causé par le stress. Ça fais 9 mois qu'on me dit: ça dois être le stress, essaie de te reposer. Assez souvent pour que j'y crois et que je ne cherche pas plus loin.

 Mon père est décédé il y a un peu plus d'un ans. Depuis je dit qu'il est parti avec ma patience, mais quelques mois après la fatigue est apparue, j'avais encore un bon morale donc je me disais que c'était le stress du deuil. Je travaillais aussi en entretien ménager qui me demandais beaucoup d'énergie. J'ai décidé d'arêtes de travailler quand je finissais toute mes journées en pleurant. Je croyais faire un Burn-out j'en ai parler avec mon mari et quelques personne dans ma famille mais on me disais toujours: C'est le stress ca va passer, après tout avec 3 enfants et un travail qui en demandais beaucoup c'était sûrement ca. J'ai attendu 3 mois que ça passe et plus ça allais moins je me sentais bien. La fatigue, les insomnie, la tristesse, l'impatience plus ça allais moins j'avais envie de me lever le matin. J'en venais même à me dire que ça serais mieux que je me réveille pas le lendemain matin. J'ai finalement été consultée en me disant que le doc allais me dire que c'était le stress et la fatigue que c'était normal. Mais il m'a dit que j'étais en dépression sévère. Personne ne se doute que je suis en dépression, après tout j'étais juste fatiguée, sauf peut-être ma soeur. Elle est la seule à m'écouter vraiment quand j'en ai parler, elle a su voir au delà du masque je je gardais en public pour ne pas déranger les autres avec mes petit problèmes. Pour l'instant il y a juste mon mari qui le sait mais si je me fie à sa réaction  lorsque je lui ai dit je me suis sentie jugée comme si j'exagèrais. Je sais que je suis du genre à tout banaliser mais je croyais quand même qu'il m'avais vu dépérir je sais qu'il travaille beaucoup pour compenser depuis que je ne travaille plus mais quand même, je lui ai dit plusieurs que je ne me sentais pas bien que j'avais un sentiment de lassitude constant. Il m'a vu pleurer à plusieurs reprise parce que je n'étais pas capable de gérer ca  il m'a demander plusieurs fois ce que j'avais mais il est rester de glace quand je lui ai dit. Ne faites pas attention à ce que les autre vous disent. J'ai attendue d'avoir pratiquement perdue goût à la vie avant de comprendre que c'est pas un état émotionnel normal. J'ai enfin l'aide dont j'avais besoins, on remonte la pente tranquillement un jour à la fois. Vous avez des doutes demander l'aide d'un professionnel avant que les symptômes ne sa grave.

Bonsoir

Je suis bouche bée car je vis la même spirale infernale et je ne m'attendais pas à tomber sur ton post c'est vraiment le pur hasard..
Je suis aussi complètement au bout du bout je vis 3 combats différents en ce moment et j'ai un bébé une princesse d'1an et demi que j'élève seule depuis sa naissance.
C'est pourquoi chaque jour que Dieu fait, au réveil quand j'ai la même phrase qui me traverse l'esprit "j'aurai préféré m'endormir pour toujours et ne pas avoir à me réveiller pour affronter une nouvelle journée" je me dis là seule chose qui me rattache ici bas c'est bien elle.
Mais sinan... J'ai plus aucun goût à la vie je me dope tous les soirs aux anxiolitques, à la base prescrit par mon médecin pour du stress et des troubles du sommeil.
Je sais aujourd'hui que je suis totalement en dépression et je sais plus quoi faire pour m'en sortir...

Moi on m'a prescrit un antidépresseur, on m'a conseillé de briser l'isolement le plus souvent possible et d'en parler. Mais ça prend du temps et il faut focaliser sur ce qui te rend hereuse, même juste un tout petit peu c'est une petite victoire.

Mawys a écrit:Moi on m'a prescrit un antidépresseur, on m'a conseillé de briser l'isolement le plus souvent possible et d'en parler. Mais ça prend du temps et il faut focaliser sur ce qui te rend hereuse, même juste un tout petit peu c'est une petite victoire.

Oui je prends juste des anxiolitques pour le moment mais je songe aux antidépresseurs....
J'ai constamment des nausées j'ai du mal à sortir la tête de l'eau mais bon... Il faut que je trouve quelque chose, pour ma fille.

Les filles je vs déconseille fortement les médicaments sa va plus vs ansuquer et vs aller être dépendante et sa sera plus dure de remonter la pente. Je vs dit pas que c facile nn. Mais il y a d autre alternative que se bourrer de médoc. Pr ma par g eu ma dernière et je peux vs dire que apres sa c était la descente au enfer... j'évite d en parler car quand je me revoit ds quel état j'étais 😭😭😭 pr ma part les symptômes on commencer pendant la grossesse. J'étais prise d'angoisse de peur d'insomnie et je pensais matin midi soir a la mort et avec mon mari sa n allait pas du tt et je devais m occuper de mes 2 premiers 1 an et 2 ans. Enfin bref g accoucher et la je peux vs dire que je n'etais plus capable de m occuper de mes enfants et de moi meme j'avait atteint le fond. Et on ma prescrit un tas de medoc et g rien pris parceque malgré tt je tenais a allaité ma fille... Enfin bref heureusement que ma famille était tres presente. Aujourd'hui sa va un peu mieu parceque g pas baisser les bras mes le combat continu ma santé a pris un coup forcement. Mais je pense que c la foi qui ma le plus aidé car arrivé un moment meme pr mes enfants je voulais meme plus me batre j étais un pavé. Enfin voila les filles sortaient aller a la piscine voyais du monde ne vs renfermer pas sur vs meme. Le lit " votre ennemi numero 1. Sortais meme si c dure. Moi je pensais que la depression sa n arrivais qu au autre mais surtt au faible d esprit mais nn sa peut toucher ttlmonde. Je vs dis bcp de courage car c une épreuve pas simple du tt.

G vu un tas de medecin et y me parler tous de babyblues que sa aller passer que c du a l accouchement mais nn je passer mon temp a pleurer seul chez moi avc des saut d'humeur en tt k je le souhaite a personne.

Solange13 a écrit:Les filles je vs déconseille fortement les médicaments sa va plus vs ansuquer et vs aller être dépendante et sa sera plus dure de remonter la pente. Je vs dit pas que c facile nn. Mais il y a d autre alternative que se bourrer de médoc. Pr ma par g eu ma dernière et je peux vs dire que apres sa c était la descente au enfer... j'évite d en parler car quand je me revoit ds quel état j'étais 😭😭😭 pr ma part les symptômes on commencer pendant la grossesse. J'étais prise d'angoisse de peur d'insomnie et je pensais matin midi soir a la mort et avec mon mari sa n allait pas du tt et je devais m occuper de mes 2 premiers 1 an et 2 ans. Enfin bref g accoucher et la je peux vs dire que je n'etais plus capable de m occuper de mes enfants et de moi meme j'avait atteint le fond. Et on ma prescrit un tas de medoc et g rien pris parceque malgré tt je tenais a allaité ma fille... Enfin bref heureusement que ma famille était tres presente. Aujourd'hui sa va un peu mieu parceque g pas baisser les bras mes le combat continu ma santé a pris un coup forcement. Mais je pense que c la foi qui ma le plus aidé car arrivé un moment meme pr mes enfants je voulais meme plus me batre j étais un pavé. Enfin voila les filles sortaient aller a la piscine voyais du monde ne vs renfermer pas sur vs meme. Le lit " votre ennemi numero 1. Sortais meme si c dure. Moi je pensais que la depression sa n arrivais qu au autre mais surtt au faible d esprit mais nn sa peut toucher ttlmonde. Je vs dis bcp de courage car c une épreuve pas simple du tt.

Bonsoir très touchant ton témoignage et tellement vrai. Oui faut pas prendre des médicaments je suis d'accord un peut de courage et de volonté et vous vous en sortirez même si c'est dur.

SLS-SMS a écrit:

Solange13 a écrit:Les filles je vs déconseille fortement les médicaments sa va plus vs ansuquer et vs aller être dépendante et sa sera plus dure de remonter la pente. Je vs dit pas que c facile nn. Mais il y a d autre alternative que se bourrer de médoc. Pr ma par g eu ma dernière et je peux vs dire que apres sa c était la descente au enfer... j'évite d en parler car quand je me revoit ds quel état j'étais 😭😭😭 pr ma part les symptômes on commencer pendant la grossesse. J'étais prise d'angoisse de peur d'insomnie et je pensais matin midi soir a la mort et avec mon mari sa n allait pas du tt et je devais m occuper de mes 2 premiers 1 an et 2 ans. Enfin bref g accoucher et la je peux vs dire que je n'etais plus capable de m occuper de mes enfants et de moi meme j'avait atteint le fond. Et on ma prescrit un tas de medoc et g rien pris parceque malgré tt je tenais a allaité ma fille... Enfin bref heureusement que ma famille était tres presente. Aujourd'hui sa va un peu mieu parceque g pas baisser les bras mes le combat continu ma santé a pris un coup forcement. Mais je pense que c la foi qui ma le plus aidé car arrivé un moment meme pr mes enfants je voulais meme plus me batre j étais un pavé. Enfin voila les filles sortaient aller a la piscine voyais du monde ne vs renfermer pas sur vs meme. Le lit " votre ennemi numero 1. Sortais meme si c dure. Moi je pensais que la depression sa n arrivais qu au autre mais surtt au faible d esprit mais nn sa peut toucher ttlmonde. Je vs dis bcp de courage car c une épreuve pas simple du tt.

Bonsoir très touchant ton témoignage et tellement vrai. Oui faut pas prendre des médicaments je suis d'accord un peut de courage et de volonté et vous vous en sortirez même si c'est dur.

Merci bon j'avoue que la presence de la famille dans se genre d'épreuves c tres important en tt cas c grace a eux que g pas pris de medoc et bcp ma foi en dieu qui ma aidé. En tt cas mtn g asser la niak pr me battre pr mes enfants du moin jspr car c pas tt les jr facile mais sa va largement mieux 😊😊😊😊 en tt cas jspr que les filles elle vont pas croire que la solution c les medocs car sa traite la forme mais pas le fond malheureusement.